
Le gardien d’immeuble en copropriété : un rôle essentiel aux missions encadrées
Indispensable au bon fonctionnement des copropriétés, le gardien d’immeuble voit ses missions et conditions de travail définies par des textes réglementaires précis.
Écrit le 23/04/2025
Témoignages
Alain, vous avez rejoint IFNOR en juillet 2024. Qu’est-ce qui vous a conduit à franchir le pas ?
Alain Dubois. Après un licenciement économique dans le secteur de la finance, je cherchais à donner un nouveau souffle à ma carrière. Cela faisait longtemps que je vérifiais les comptes des copropriétés de ma famille – une vraie passion de longue date ! Et comme IFNOR est aussi le syndic de ma propre résidence, j’avais souvent parlé de cette envie avec Bernard Duval (cogérant du cabinet). Le moment venu, je lui ai simplement envoyé un message. Il cherchait un comptable, moi un nouveau départ. Et ça a tout de suite matché.
Quel regard portez-vous sur le cabinet, neuf mois après votre arrivée ?
AD. J’ai quitté un grand groupe où je n’étais qu’un matricule. Ici, c’est tout l’inverse : une structure à taille humaine, bienveillante, où l’on est considéré dès le premier jour. L’intégration a été quasi immédiate. Il y a toujours quelqu’un pour vous épauler en cas de difficulté. Chez IFNOR, on ne laisse personne sur le bord du chemin.
Un moment marquant depuis votre arrivée ?
AD. Sans hésiter, mon premier bilan réalisé avec Bernard Duval et Valérie Bourdy. J’en suis ressorti très motivé. Changer de métier à mon âge, ce n’est pas évident : il faut se familiariser avec de nouveaux logiciels, de nouvelles règles… Alors entendre des compliments, des retours positifs, ça fait du bien. J’attache beaucoup d’importance à la reconnaissance, mais aussi aux critiques constructives qui nous font progresser.
Comment décririez-vous l’ambiance au sein de l’équipe ?
AD. C’est simple : ici, les gens sont bien. On se parle franchement, toujours avec respect. On travaille en équipe, on s’entraide. Et dans les périodes de rush, il suffit de lever la main pour recevoir de l’aide. Cet esprit d’équipe est essentiel, surtout dans un métier comme le mien. Sortir des comptes, ce n’est jamais un travail solitaire.
En un mot, pourquoi recommanderiez-vous IFNOR ?
AD. Pour la bienveillance. C’est la première fois, en plus de 30 ans de carrière, que je vis une intégration aussi fluide, aussi humaine. Si vous rejoignez IFNOR, vous ne serez jamais seul. Vous serez guidé, épaulé. C’est une vraie équipe, et c’est rare.
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