« Mon arrivée chez IFNOR a été une bouffée d’oxygène »

Gestionnaire de copropriétés à Villers-sur-Mer, Maeva Hébert a gravi les étapes les unes après les autres depuis 2022. Elle revient sur un séminaire fédérateur qui dope l’efficacité au quotidien et sur une culture d’entreprise où la confiance et la bienveillance font la différence.

Quel est votre rôle au sein de l’agence IFNOR de Villers-sur-Mer ?
Maeva Hébert : Je suis gestionnaire de copropriétés. Je pilote un portefeuille d’environ quarante immeubles, avec l’appui de mon assistant, Clément Doublet. Mon quotidien, c’est la gestion courante : suivi des contrats, préparation et tenue des assemblées générales, relations avec les conseils syndicaux, traitement des urgences… et surtout l’accompagnement des copropriétaires dans leurs projets de travaux. J’essaie d’anticiper au maximum : cadrer les besoins, planifier, sécuriser les délais et la qualité, et rester très disponible pour expliquer, rassurer, fluidifier.

Votre parcours chez IFNOR a été rapide. Comment s’est faite cette progression ?
M. H. : Je suis arrivée en février 2022 comme hôtesse d’accueil à Villers-sur-Mer, en donnant aussi un coup de main à la location saisonnière. En 2023, on m’a proposé un poste d’assistante en copropriété : c’était un univers que je ne connaissais pas encore, mais j’ai tout de suite accroché. En novembre 2023, je suis devenue gestionnaire. Ce qui a fait la différence, c’est la confiance que l’on m’a accordée très tôt et l’accompagnement réel au quotidien. On m’a transmis, formée, responsabilisée, sans me laisser seule face aux enjeux. Quand on sort de l’école, être reconnue aussi vite, c’est extrêmement valorisant : ça donne envie de s’investir et de montrer ce que l’on peut apporter au cabinet.

Un projet récent dont vous êtes particulièrement fière ?
M. H. : Cette année, j’ai suivi un gros chantier de ravalement de façade sur une copropriété. La clé a été la préparation en amont : cadrage avec l’architecte et le conseil syndical, explication des options techniques, phasage pour gêner le moins possible les occupants. Pendant les travaux, nous avons tenu des réunions hebdomadaires de suivi de chantier, très concrètes, pour que chacun sache où on en est. Évidemment, il y a toujours des aléas : l’important est d’être présent, réactif, transparent, et de prendre le temps de rassurer les propriétaires.

Qu’est-ce qui vous a marquée lors du dernier séminaire en Normandie ?
M. H. : Je l’ai vécu comme un vrai moment de reconnaissance et d’échange. Le module sur l’organisation du temps et la priorisation m’a énormément parlé : dans notre métier, les sollicitations sont permanentes, et savoir hiérarchiser, se ménager des plages de fond, ça change tout. Les conseils étaient très opérationnels et immédiatement transposables au terrain. Et puis il y a l’humain : rassembler les équipes des quatre agences, franciliennes et normandes, mettre des visages sur des voix, partager autre chose que des mails… On renforce des liens très concrets qui, ensuite, fluidifient le travail au quotidien. On repart avec de l’énergie, des outils, et le sentiment d’être soutenu par une équipe soudée.

Justement, en quoi IFNOR se distingue-t-il dans votre parcours ?
M. H. : Avant de rejoindre le Cabinet IFNOR, j’ai connu un environnement où je me sentais peu écoutée et où la communication passait mal. Mon arrivée ici a été une bouffée d’oxygène. L’ambiance est familiale sans être informelle : il y a de la bienveillance, de l’entraide, une vraie proximité entre les quatre agences. On peut solliciter un collègue, un cogérant, et obtenir une réponse rapide et constructive. Cette qualité de relation, saine et simple, fait gagner du temps et sécurise nos décisions. On se sent légitime, responsabilisé, et en même temps jamais seul. Pour moi, c’est ce mélange de confiance, d’exigence et de soutien qui définit la culture IFNOR. C’est exactement ce que j’étais venue chercher… et ce que je trouve chaque jour dans mon poste.